CORPO TEAM 100

lundi 31 octobre 2016

Ne dites pas innovation, mais disruption

Du micro-ordinateur au cloud computing en passant par le smartphone, 40 années d'innovations qui changent le monde

“Disruption technologique : innovation qui porte sur un produit ou un service et qui finit par remplacer une technologie dominante sur un marché”, telle est la définition élaborée par Clayton Christensen dans son fameux livre ‘The Innovator’s Dilemma’ publié en 1997. Le dernier quart de siècle ne manque pas de produits ou services si puissants qu’ils en ont bouleversé leur marché. Plus remarquable, la théorie du professeur de Harvard s’est confirmée les décennies suivantes. Entre 1997 et 2016, de nombreuses innovations disruptives ont également vu le jour. Fertilisé au numérique, le terreau est favorable. La récolte abondante rend le choix encore plus difficile. ‘Le nouvel Économiste’ en a sélectionné quatre. Quatre as vecteurs de disruptions, à la fois technologiques et économiques. Ruptures.

As de pique : Internet

‘Primus inter pares’ : le réseau des réseaux. Plus les années passent, plus il est difficile de se souvenir d’une vie personnelle et professionnelle sans le fameux “www”. Les millenials auront du mal à y croire mais avant juin 1994 – date du lancement du premier fournisseur d’accès au web grand public FranceNet par Rafi Haladjian –, la vie était tout autre. Toute correspondance nécessitait une enveloppe et un timbre, sauf dans les entreprises où les collaborateurs pouvaient envoyer des “fax”. Côté perso, il fallait aller au vidéoclub pour louer un film ou dans une agence de voyages pour organiser ses vacances… Une autre époque. En 1998, 4 % de la population française dispose d’un accès à Internet.

“Plus les années passent, plus il est difficile de se souvenir d’une vie personnelle et professionnelle sans le fameux “www””

En 2014, nous sommes 82 %. Internet a provoqué une rupture des usages et continue à chambouler l’univers des entreprises. Tremplin à la création de services et d’activités commerciales nouvelles, cheval de Troie des barbares du web, les fameux Gafa, Natu* et consorts, il oblige les agents économiques à accorder process et compétences aux desiderata des clients et des usagers. Tout un programme résumé dans une expression un peu fourre-tout mais ô combien d’actualité : “la transformation digitale”. Une urgence.

As de carreau : le micro-ordinateur

La rupture fondamentale de l’Internet n’aurait pu voir le jour sans la démocratisation de la micro-informatique. Le support de la révolution, en somme. Dans les entreprises au départ, puis très vite dans les foyers, en témoigne la croissance exponentielle du taux d’équipement informatique des Français. À peine 1 foyer sur 10 possède un PC en 1991, contre plus de 8 sur 10 aujourd’hui selon le Crédoc.

“À peine 1 foyer sur 10 possède un PC en 1991, contre plus de 8 sur 10 aujourd’hui”

Au départ distancés par nos voisins, en raison des succès du Minitel, les Français ont peu à peu comblé leur retard. Le taux d’équipement des foyers en micro-informatique à fin 1998 était de 22,5 % contre 35 % en Allemagne selon GfK. Moteurs de la croissance : la baisse vertigineuse des prix des matériels et le développement tous azimuts de l’ADSL. Après un règne sans partage des PC de bureau, le marché est aujourd’hui beaucoup plus diversifié avec les portables, les tablettes mais aussi les produits hybrides comme les “phablets”, contraction de phone et tablette.

As de cœur : le smartphone

Autre innovation de rupture majeure : le smartphone. Sur ce marché, il y aura un avant et un après iPhone. Lancé par la firme Apple en 2007, il suscite au départ un fort scepticisme en raison de son prix élevé et de l’absence de clavier. On se souviendra du commentaire de Steve Balmer de Microsoft : “IPhone has no chance”. En juillet dernier, Apple a pourtant atteint le milliard d’unités commercialisées depuis 2007. Au quatrième trimestre 2015, ce produit représentait 62,5 % du chiffre d’affaires de la firme. Il a aussi transformé l’industrie du mobile. Nokia, leader incontesté du secteur en son temps, a disparu des écrans radars faute d’avoir cru dans la technologie tactile. Même cause, même effet avec Blackberry, qui a annoncé arrêter la production d’appareils en septembre dernier. En 2015, près de 1,5 milliard de smartphones ont été écoulés. Dans le monde, un habitant sur 3 utilise un téléphone intelligent. En France, nous sommes plus de 24 millions.

“On se souviendra du commentaire de Steve Balmer de Microsoft : “IPhone has no chance””

La simplicité d’utilisation de ces ‘devices’ a entraîné de nouveaux usages, services et business. Uber par exemple, n’aurait sans doute pas rencontré le même succès sans le smartphone. Entertainement, médias, réseaux sociaux, e-commerce, transports… “le mobile mange vraiment le monde”, comme le résume l’expression consacrée. Le monde mais aussi nos journées : selon une étude britannique de 2014, chaque utilisateur regarde son smartphone en moyenne 221 fois par jour !

As de trèfle : le cloud computing

Dernière innovation de rupture sélectionnée, et probablement la plus méconnue du grand public, le cloud computing. De quoi s’agit-il ? En deux mots, de l’informatique par Internet. Pour les entreprises surtout, mais aussi pour les particuliers, le “nuage” est une véritable révolution technologique et économique.

La puissance informatique peut être à la fois externalisée – dans des datacenters gérés par des spécialistes comme Amazon, IBM ou SalesForces –, mais aussi utilisée à la demande, en fonction des besoins. Une “élasticité” particulièrement appréciée par les start-up, mais pas seulement. De plus en plus d’organisations se branchent au nuage. Le cloud computing représente un marché annuel de près de 70 milliards de dollars dans le monde.

“La puissance informatique peut être à la fois externalisée mais aussi utilisée à la demande, en fonction des besoins”

Enfin, le phénomène bouleverse les modèles économiques des industriels de l’informatique, et notamment de software, à l’instar de Microsoft, contraint d’évoluer du métier de vendeur de logiciels à celui de fournisseur de services.

Au final, les cycles de l'innovation ne s’arrêteront sûrement pas en 2016. ‘Le nouvel Économiste’ aurait pu s’attarder sur d’autres ruptures : le numérique dans la photo, le GPS dans les transports, le big data dans la publicité et le marketing, l’Internet des objets dans l’énergie, les drones dans la sécurité, ou la blockchain dans la finance. Ces sujets sont-ils des disruptions majeures ? Aucun doute dans certains cas – la disparition de Kodak ou des cartes Michelin en témoignent. Pour les autres, seul l’avenir le dira.

*Gafa : Google, Amazon, Facebook, Apple. Natu : Netflix, AirBnB, Tesla, Uber.

Par Edouard Laugier

Source: Ne dites pas innovation, mais disruption

Ordinateur, Internet, mobile et après ?

Nous ne pouvions pas passer à côté de cet article. Au cours de la veille quotidienne, celui-ci est largement sorti du lot malgré un titre peu flatteur. L’article évoquait le principe du cycle de vie de l’informatique à travers l’évolution des technologies dans le temps. Signifiant ainsi, ce sur quoi nous pourrions aboutir à l’avenir.

Sans plagier l’article rédigé en anglais, nous allons rendre hommage à l’auteur, Chris Dixon, en résumant ses idées et ajoutant par la même occasion les nôtres.

Le rythme cyclique de l’informatique

Tout les 10-15 ans, un nouveau cycle s’enclenche au sein du marché de l’informatique et apporte son lot d’innovations technologiques et produits : l’ordinateur, les PC personnels, Internet, les smartphones et les tablettes. Chaque cycle débute par une « phase de gestation », puis arrive à maturité et enfin aboutit sur une nouvelle ère : le cycle suivant, la nouvelle technologie.

Concrètement, l’auteur a représenté les trois cycles informatiques que nous avons connu jusqu’à présent : l’ère des PC/Mac débutant à partir des années 80, Internet au milieu des années 90 et enfin le mobile vers 2005.

Nous noterons en regardant ce graphique que chaque cycle évolue de manière indépendante et toujours de façon croissante. Le taux d’équipement des ménages en ordinateurs personnels ne cesse de croître, ce qui n’empêche pas l’usage du mobile de progresser énormément ces dernières années. En parallèle, Internet trace sa propre voie tout en liant PC et mobile comme le trait d’union de deux cycles technologiques. Les webmails (Hotmail, Gmail), les portails (Yahoo!, Orange), les sites e-commerce (Amazon) ainsi que les réseaux sociaux (Facebook, Instagram) et les systèmes de messagerie (Messenger, WhatsApp) forment autant de composants du Web et donc d’Internet.

Revenons à la théorie cyclique. Si nous nous basons sur des périodes de 10 à 15 ans avant de changer d’ère alors il nous reste encore 5 années de développement au niveau du mobile avant de franchir une nouvelle étape majeur vers 2020.

Pour conclure ce paragraphe, nous pouvons rajouter un élément que l’auteur de cette théorie n’a pas mentionné : la domination des grands acteurs du marché grâce à leur adaptabilité. Qu’est-ce que nous voulons dire par là ? L’Histoire ne retient que les vainqueurs. Ces derniers ne sont pas forcément ceux qui ont créé le marché, mais ceux qui l’ont anticipé et compris.
Apple et IBM ont devancé l’usage des ordinateurs personnels. Microsoft, celui de la bureautique. Google a décomplexifié l’utilisation du Web avec son moteur de recherche. Facebook a simplifié et multiplié la communication à distance.

Hardware : de plus en plus petit et de moins en moins cher

Pour l’auteur, le hardware va encore se miniaturiser pour s’accorder à chaque besoin : les minicomputer pour les entreprises de taille moyenne, les PC auprès des petites entreprises et des ménages et les smartphones auprès des individus.

L’ère du mobile a justement accéléré ce processus de miniaturisation avec des appareils plus légers, plus petits et plus fins. De même, la forte progression du taux d’équipement en ordinateur portable et en mobile a créé une économie d’échelle permettant de réduire le coût de développement du hardware.

L’investissement dans la miniaturisation des composants informatique sert également le potentiel prochain cycle qui pourrait être celui de la Réalité Augmentée et Virtuelle. Les éléments utilisés dans les mobiles se retrouvent également dans les casques VR. Nous pourrions parler alors « Création créatrice » à l’inverse de « Destruction créatrice » à travers ce schéma cyclique…

Software : au revoir Encarta, bonjour l’IA

S’il y a bien un sujet qui fait parler de lui par les plus grands scientifiques, entrepreneurs et même réalisateurs et écrivains, c’est celui de l’intelligence artificielle. Grâce à la technique du machine learning et son développement ces dernières années, le taux d’erreur de l’IA est moins élevé que celui des humains au regard d’une compétition informatique (ImageNet challenge).

Grâce aux efforts et investissements dans le machine learning, les logiciels et applications ont été optimisés. Comme l’auteur nous l’indique, WhatsApps fonctionne seulement avec 50 ingénieurs…

L’intelligence artificielle commence à être de plus en plus intégrée dans les outils du quotidien. Les assistants vocaux comme Cortana ou Siri pour les mobiles, les moteurs de recherche avec Google Photos ou encore les chat bots au sein des systèmes de messagerie comme Facebook Messenger.

En conclusion…

Que pensez-vous de la fusion des avancées technologiques du hardware avec des processeurs plus puissants et du software avec l’intelligence artificielle ? En fait, nous sommes déjà dans la phase de gestation du prochain cycle. Cette étape qui prépare le marché, c’est à dire les consommateurs à se « prendre une claque technologique » et à changer son quotidien. Mais également les entreprises qui développent ces nouvelles technologies, révolutionnent (réellement) le marché.

Les voitures autonomes sont développées aujourd’hui, non par les constructeurs historiques, mais par les grands acteurs de l’informatique : Google, Apple, Uber et Tesla.
Les drones construits avec les mêmes éléments que les smartphones auxquels on rajoute une intelligence artificielle permettant d’assister de pilotes pendant leurs vols, voir de piloter de manière autonome…
Les objets connectés qui sont un sujet depuis quelques années maintenant. La domotique devient « smart », la sécurité plus omniprésente et les tâches du quotidien plus simple à effectuer. La réalité virtuelle et augmentée avec notamment des acteurs comme Oculus HTC ou encore les Wearables…

Vous l’aurez compris, le cycle du mobile arrive bientôt à son terme, ce qui va se traduire par une nouvelle révolution technologique avec ses conséquences sur le marché et son lots d’innovations et de transformations. Alors que nous savons que de nombreuses entreprises n’ont pas encore passé le cap du mobile. Le changement de cycle peut être l’occasion de rattraper son retard en faisant une pierre deux coups. Mais c’est aussi aussi une manière de « nettoyer » le marché des entreprises qui ne souhaitent pas s’adapter (Darwin sort de ce corps…).

Source: Ordinateur, Internet, mobile et après ?

vendredi 28 octobre 2016

Les serveurs Dell greffés aux VxRail et VxRack d'EMC

L'intégration Dell EMC est en marche : les solutions hyperconvergentes VxRail et VxRack d'EMC/VCE accueillent les serveurs Dell PowerEdge en lieu et place des Quanta Computing.

L'acquisition d'EMC par Dell commence à se manifester dans la liste des solutions proposées par l'entreprise. Les plates-formes hyperconvergées (HCI) VxRack System 1000 et les appliances VxRail d’EMC/VCE reposeront désormais sur des serveurs PowerEdge, équipés de processeurs Intel Xeon Broadwell Xeon - avec des avantages significatifs en terme de performances – en lieu et place des Quanta Computing. Rappelons que les appliances VxRail bénéficient d’une étroite intégration avec les logiciels WMware, à savoir vSAN, vSphere et vCenter – et Horizon pour la virtualisation client - pour permettre aux PME et PMI de déployer plus rapidement des serveurs dédiés dans le cadre d'un environnement cloud privé.

La ligne VxRail proposera 250 configurations possibles, des processeurs 40% plus performants et des nœuds tout-flash avec 2 fois plus de capacité de stockage selon un communiqué de presse de la compagnie texane. Repensées, ces appliances sont en mesure d'offrir des rendements plus élevés pour accueillir plus de charges de travail et aussi apporter les bienfaits de l'hyperconvergence dans de nombreux périmètres clients : à faible ou grande échelle. Des workflows assurés par Microsoft Exchange ou l’analyse de flux de données en big data peuvent ainsi être pris en charge par du matériel VxRail reposant sur la gamme PowerEdge R730xd.

Quanta toujours disponible si besoin 

Les systèmes VxRack System 1000 exploitant l’architecture Software Defined Storage sur des noeuds Neutrino seront désormais animés par des serveurs PowerEdge R630 et R730xd et offriront 2,5 fois plus de capacité et des processeurs 40% plus performants pour le même prix (à partir de 300 000 $ HT avec trois nœuds). Vingt nouvelles configurations sont disponibles pour répondre à des besoins comme le calcul intensif ou le stockage (tout-flash et hybride) dans un datacenter. L‘accélération des applications est également de la partie avec DAS SanDisk qui augmente la vitesse des opérations d’E/S et réduit les temps de latence en stockage pour offrir des performances aux applications avec opérations E/S et mieux travailler avec les bases de données SQL.

Bob Wambach, vice-président en charge de l’activité marketing produit pour la plate-forme convergente chez Dell EMC, a toutefois indiqué que les clients qui désirent encore utiliser la version antérieure des systèmes VxRack et VxRail sur base Quanta seront en mesure de le faire.

Source: Les serveurs Dell greffés aux VxRail et VxRack d'EMC

Microsoft présente « l'ordinateur portable le plus puissant qui existe »

Microsoft grille la politesse à Apple. À la veille de la présentation des nouveaux MacBook de la firme à la pomme, l’autre géant de l’informatique américain a levé le voile, mercredi, sur les nouveaux PC hybrides de sa gamme Surface. Au menu de cette grand-messe, une nouvelle tablette-PC portable - le Surface Book i7 - taillée pour concurrencer les derniers nés d’Apple et, surtout, le Surface Studio.

Microsoft a dévoilé un appareil haut de gamme coûteux mais conçu plus particulièrement pour les dessinateurs, les artistes et les professionnels de la création. Le "Surface Studio" a notamment un très grand écran tactile à haute résolution de 28 pouces de diagonale (71 centimètres), qui peut s'incliner jusqu'à 20 degrés. Il peut s'utiliser avec un stylet numérique (Surface Pen) ainsi qu'avec un petit disque d'aluminium (Surface Dial) qui se pose sur l'écran et permet par exemple de changer la couleur avec laquelle on dessine sans avoir à lever le stylet de l'écran.

«Il a le meilleur écran, et il a de la classe»

«Nous l'avons vraiment conçu pour les professionnels, il doit transformer la manière dont on travaille, dont on crée, aider à produire. Il est fait pour vous immerger dans le contenu que vous créez», a commenté Panos Panay, vice-président en charge des appareils chez Microsoft, en présentant le nouveau PC lors d'un événement organisé à New York.

Ces promesses ont un prix : le Surface Studio, qui se positionne clairement sur le haut de gamme, est proposé en précommande dans la boutique en ligne de Microsoft pour des tarifs allant de 2.999 dollars à 4.199 dollars selon les configurations.

«L'ordinateur portable le plus puissant qui existe sur le marché»

L'appareil commencera à être expédié «en quantités limitées» courant décembre, «avec une plus large disponibilité début 2017», a précisé Microsoft.
Le groupe a aussi présenté mercredi une nouvelle version de son ordinateur portable, le Surface Book i7, décrit par Panos Panay comme «l'ordinateur portable le plus puissant qui existe sur le marché», avec entre autres une batterie capable de fonctionner pendant seize heures.Il sera pour sa part disponible à partir de novembre avec un prix de base de 2.399 dollars.

Source: Microsoft présente « l'ordinateur portable le plus puissant qui existe »

lundi 24 octobre 2016

Ce que vous devez savoir avant d'acheter des meubles de bureau


Finalement, chaque bureau doit investir dans de nouveaux meubles. Lorsque le moment est venu pour vous de faire un achat?
Si vous répondez oui à l'une des questions ci-dessous, alors la réponse n’est probablement pas:

  • Est votre désordre d'ameublement actuelle, et il est problématique pour les flux de travail efficace et de la production des employés?
  • Est-ce que vos meubles devenu un risque? Est-il effondre, dangereux pour les employés, et manque d'ergonomie?
  • Est-ce que votre modèle d'ameublement empêche la collaboration entre les employés et les départements?
  • Est-ce que la technologie a dépassé vos meubles, ce qui empêche la croissance de l'entreprise?

Les choses à éviter lors de l'achat de mobilier de bureau:

Il y a beaucoup de facteurs à prendre en compte. Disons lister les erreurs les plus remarquables couramment faites par les entreprises:
L'apparence est un facteur important, mais rien ne devrait compromettre le confort et la santé de vos employés et lieu de travail. Chaises avec un style élégant que la fonction et le confort manquent ne signifient rien.
  • Les besoins des employés :
Chaque employé est différent. Obtenez adhésion des de vos employés. Un court sondage, spécifique pour votre organisation, pourrait être un bon début. Inclure dans le sondage à choix multiples et des questions ouvertes qui permettent aux employés de fournir une rétroaction spécifique sur leur espace de travail idéal.
  • Plan d'achat :
L'achat de mobilier de bureau commercial exige tout autant de diligence raisonnable comme si vous étiez à intégrer de nouveaux logiciels ou matériels; il est un investissement pour votre peuple. Les principales considérations devraient inclure deux questions sur l'utilisation: À quelle fréquence? Et par qui? Les réponses à ces questions vous donneront les grandes lignes, y compris à penser à long terme vs court terme.
  • Temps pour tester :
Le dicton «essayer avant d'acheter" est vrai pour le mobilier de bureau. Test sur le mobilier de bureau peut vous faire économiser beaucoup de temps et d'argent, plus il engage la rétroaction des employés productifs.

Les choses à considérer lors de l'achat de mobilier de bureau
  • Planifier le processus
Commande de nouveaux meubles de bureau peut prendre plus longtemps que prévu. Il ne ressemble pas à l'achat de mobilier résidentiel au magasin le plus proche, où vous pouvez parcourir et sélectionner ce que vous voulez et le faire livrer le lendemain.

L'avantage est l'efficacité dans le placement, que chaque espace est différent et vous pouvez personnaliser votre mobilier en fonction de l'espace. Règle de base: Si vous vous sentez qu'il est trop tôt pour commencer, alors il est le moment idéal pour commencer.
  • Définir votre lieu de travail
Placement de meubles peut être personnalisé pour répondre à tous les espaces. Un concepteur et/ou un planificateur d'espace est souhaitable, et les deux jouent un rôle clé dans l'expérience.
Points à réfléchir sur votre espace actuel:
  • Est-il séparé?
  • Est-ce que certaines personnes ont besoin d'être plus proche aux autres?
  • Est-ce que certains équipements doivent être accessibles à tout le monde?
  • Avez-vous besoin plus grand ou plus petit espace (s) de réunion?
  • Est-ce que la collaboration a encouragé toute l'organisation?
  • Sont des espaces disponibles pour le travail ciblé?
  • La technologie :
La plupart des meubles que vous achetez sera avec vous pour les 15 à 20 prochaines années. La technologie utilise votre organisation, cependant, sera dans un état de changement perpétuel et jamais statique.
Assurez-vous que vos meubles adapter aux changements.
  • Qualité
Tout le monde cherche la qualité et l'abordabilité rencontre en ligne où. En ce qui concerne les meubles, la plupart traitent comme un négatif au lieu de positif. Nous croyons que cela est parce qu'il est une dépense et le mobilier est considéré comme une marchandise. C’est à dire « juste un bureau »ou «juste une chaise».
Pensées comme celles conduiront à l'achat de mobilier de très faible qualité qui tombe en morceaux dans quelques années, nécessitant des achats supplémentaires pour les produits de remplacement.
Inévitablement, l'achat médiocre répétition définira votre organisation. Achats de qualité contribuent et de communiquer plus à vos parties prenantes. Achetez des meubles qui permettront de minimiser vos coûts à long terme de la propriété.

GAMMA 150